Сборник статей ежегодной международной студенческой научно-практической конференции isbn 978-5-7890-0605-4 Ростов-на-Дону
| Вид материала | Сборник статей |
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- Итоги и перспективы энциклопедических исследований сборник статей итоговой научно-практической, 3301.6kb.
- Программа 4-й Международной студенческой научно-технической конференции Конференция, 803.12kb.
- Сборник научных статей и докладов участников Поволжской научно-практической конференции, 4109.46kb.
Literature
1. Russian government statistics service. u/
2. Mortgage credit in Russia // .ru/news/18_10_2010/7026880/
3. For Many Chinese Men, No Deed Means No Dates. The New York Times. Published: April 14, 2011
4. French property demand remains high. rtyshowrooms.com/france/property/news/french-property-demand-remains-high_311309.phpl. Article Date : 20 April 2011
5. Mortgage rates ease for first time in a month. By Inman News, Thursday, April 21, 2011.
6. Euro rate rise hammers overseas mortgage holders. k/news_article.asp?id=5164
7. Mixed messages from Spanish property market. gofast.com/view_news/2115/
8. Russia - Prime Minister Vladimir Putin delivers a report on the government’s performance in 2010 in the State Duma. .com/pages/21_April_2011_29.php
9. inaexpat.com/chinas-hidden-personal-mortgage-problems/
10. berg.com/news/2011-04-14/hong-kong-land-sales-plan-means-government-will-use-auctions-to-curb-boom.phpl
Поповой Дарьи
Don State Technical University
PROGRÉS TECHNIQUE ET INNOVATIONS
This article is about innovations, their role in a present world ,their economic, social, and industrial impact. The author deals with French-Russian cooperation, some the most important French innovations of 2010.
Key words: innovations, industrial boom, French-Russian cooperation, TGV, product innovations , process innovations , economic advantages, research, development.
Les different types d’innovations:
Une innovation peut-être définie comme l’utilisation économique (productive) d’une invention. L’économiste d’origine autrichienne Joseph A. Schumpeter classe les innovations selon leur effet sur l’économie:
-innovations de produits (de nouveaux biens);
-innovations dans les inputs (apparition de nouvelles sources d’énergie ou de nouvelles matiéres premiéeres);
-innovations de procédés (de nouvelles méthods de production);
-innovations organisationelles (de nouvelles organizations, par exemple, l’organisation scientifique du travail);
-innovations commerciales (de nouvelles méthods commerciales, comme le téléachat);
-innovations de marchés (de nouveaux marchés: le marchés des intivirus informatiques par exemple).
Impact économique, industriel et sociétal
Au plan scientifique, certains voient dans des nanotechnologies un tournant majeur, d’autres une continuité. Une chose est sûre, l’émergence du nanomonde amorce une nouvelle révolution technologique, dont les impacts vont influencer largement la société... Au même titre que l’arrivée du numérique a modifié les modes de vie.
Les nano, un enjeu économique
Le marché mondial des nanotechnologies, encore dans ses prémices en 2001, était déjà estimé à 40 milliards d'euros. Aujourd’hui, avec l’engagement massif des budgets de recherche et développement pour l’accélération de l’innovation, les estimations s’affolent : un marché de plusieurs centaines de milliards de dollars annuels s'ouvrira d'ici 2010. Les biens et les services générés par cette dynamique pourraient même représenter jusqu’à mille milliards de dollars chaque année entre 2010 et 2015, selon les prévisions de la National Science Foundation américaine.
Notamment, l’investissement massif dans les matières premières telles que les métaux ou les céramiques sera en baisse, grâce au développement de nanomatériaux nouveaux, ainsi qu’à une nouvelle approche de fabrication des objets atome par atome ("bottom up"), qui pourrait réduire les quantités de résidus. Autre aspect, l’économie d’énergie via l’optique par exemple. Des réductions de consommation de 50% de l’éclairage public sont attendues dans les prochaines années. Des émetteurs à très haut rendement seront vingt fois plus efficaces que les ampoules actuelles qui restituent en lumière seulement 3 à 4% de l’énergie (le reste se disperse en chaleur). Déjà, un record a été établi au Laboratoire de physique de la matière condensée de Palaiseau : des diodes électroluminescentes fournissent 28% de lumière. Leur objectif : restituer jusqu’à 70% de lumière.
Dans cette course économique effrénée, de lourds investissements préalables s’imposent. Si le prix d’un composant électronique baisse, les financements nécessaires pour sa fabrication ne vont cesser d’augmenter. Avec le rythme de renouvellement des techniques imposé par la miniaturisation des composants et des structures, le coût de mise en œuvre des procédés double tous les trente six mois. Il représente déjà cinq à six milliards de dollars chaque année à travers le monde. A cet impératif s’ajoute l’ombre d’une impasse technologique, qui demande un investissement d’autant plus grand : La célèbre Loi de Moore prévoyant que le nombre de transistors par circuit de même taille double tous les dix-huit mois, augmentant les performances électroniques, pourrait atteindre ses limites d’ici 2010.
Le boom industriel à venir
Cette révolution de la taille des composants et de la structure des matériaux aura un impact dans les domaines manufacturés les plus divers, dont la production actuelle est réalisée à la précision du micromètre : l’électronique, l’aéronautique, la défense, l’environnement ou les matériaux de construction par exemple. En jeu, des propriétés mécaniques, électroniques, thermiques, magnétiques et catalytiques nouvelles à exploiter.
Entre autres avancées majeures pour l’industrie : l’amélioration de la catalyse. Cette réaction chimique accélère déjà les processus de fabrication des matériaux, sans les modifier. Ses performances vont rapidement évoluer : les nanopoudres remplacent les poudres actuelles de métaux lourds rares tels que le platine ou le palladium. Avec davantage de surface, elles les rendent plus efficaces en consommant moins de matière. Mieux, à l’échelle nano, des métaux tels que l’or, inertes à l’état macroscopique, deviennent très réactifs.
Ces nanoparticules pourraient permettre à l’industrie de s’affranchir des producteurs de matières rares et coûteuses. Les métaux, les polymères et les céramiques seront de moins en moins utilisés. Idem pour l’aluminium et le plastique présents dans les objets du quotidien. L’industrie automobile est visée, notamment. Ces nouvelles catalyses amélioreront le filtrage des pots d’échappement en attirant davantage de molécules indésirables d’hydrocarbure, d’oxydes d’azote ou de carbone, sur une surface d’agrégats d’atomes qui les emprisonnera.
Des applications à s’approprier
Le développement du nanomonde a un impact fort sur le rapport de la société aux technologies, car ses applications s’immiscent déjà dans notre quotidien. Ces objets "nano" sont, pour certains, invisibles à l’œil nu, pour d’autres mêlant inerte et vivant. Le lien de l’utilisateur à la machine semble alors parfois modifié.
Déjà, certains nanomatériaux ou objets sont là. L’industrie des loisirs profite des premières avancées des nanotubes de carbone pour alléger les raquettes de tennis, clubs de golf et autres équipements sportifs. Quant à l’industrie cosmétique, elle intègre des nanoparticules de titane ou d’oxyde de zinc dans les crèmes solaires pour filtrer les rayons UV. Sans parler des nanopuces pour le diagnostic médical du diabète. L’industrie de la microélectronique n’est pas en reste : nanolasers dans les lecteurs de DVD, capteurs, batteries, écrans….
En électronique, les capacités de stockage d’information, d’autonomie énergétique et de communication vont intensifier l’interface entre l’Homme et son environnement via des capteurs et autres actionneurs interconnectés ou appareils portables peu gourmands en électricité (énergie nomade). De nouveaux téléphones et écrans plats - formés de nanoélectrodes, stimulées par une matrice de canons à électrons en nanotubes de carbone - sont en développement. Pour autant, la route vers un ordinateur quantique, qui effectuerait des millions d'opérations en exploitant le principe de superposition quantique, est encore très longue. Quant aux systèmes de surveillance nanométrique, ils devraient permettre l’identification et la localisation, c’est-à-dire la traçabilité des produits, la sécurisation des modes de payement ou l’échange d’informations en ligne.
En santé, prothèses, implants cochléaires ou valves cardiaques en nanomatériaux biocompatibles pourraient voir le jour. Des nanosphères jusqu’à 70 fois plus petites qu’un globule rouge, pourraient même être utilisées pour transporter un principe actif au cœur de l’organe soigner. Fini alors les effets secondaires dans les autres parties du corps, comme c’est le cas avec les traitements contre le sida, les maladies hépatiques ou certains cancers, notamment. Des laboratoires de diagnostic de la taille d’une puce sont également à l’étude, pour des résultats médicaux à moindre coût, plus rapides et plus précis que ceux obtenus à l’aide d’une prise de sang.
Les innovation de 2010.
Les innovations boostent la lute contre les maladies,améliorant les transports et gérent mieux l’énergie; ludiques et culturelles lorsqu’elles embellissent nos loisirs et affinent les technologies:
La voiture électrique: viola sur quoi parient aujourd’hui les constructeurs automobiles,au point d’en avoir fait la star du dernier Salon de Francfort. Et la tendance devrait se confirmer au Mondial de l’auto, à Paris,au mois d’octobre. PSA Peugeot-Citroen lancer sa iOn cet été; BMW doit bientôt tester sa Mini E en France, et Renault annonce quatre lancemets coup sur coup entre 2011 et 2012. Ces announces pourraient presque étonner tant les perspectives du marché de la voiture électrique semblent incertaines, du moins à moyen terme. Selon la plupart des experts,ce mode de propulsion ne pèsera qu’entre 3 et 5% des ventes dans le monde d’ici à 2020-2025. Carlos Ghosn, le PDG de Renault,semble bien le seul à prédire que l’électricité propulsera 10% des voitures neuves dans 10 ans. Indiscutablement,le moteur électrique affiche un meilleur rendement énérgetique et en rejette aucun gaz pollutant. Mais de nombreux doutes subsistent quant à l’autonomie,insuffisante;au surcoût,important; au temps de recharges et à l’absence d’infrastructures adaptées pour recharger sa voiture.
En 2010, la 4e génération de TGV est prete à s’élancer… à 360 km/h! C’est pour l’Italie,son premier acheteur,que ce concentré de technologies quitter les usines Alsom, à Aytré,près de la Rochelle. Les 25 rames,commandées dans une version rouge très Ferrari pour 650 millions d’euros,devraient assurer dès 2011 la liason entre les grandes villes de la peninsule. Il aura fallu plus de 10 ans de recherché pour produire l’AGV(pour Automotrice grande vitesse). Objectif: gagner en vitesse,en modularité et en nombre de places,tout en concervant la spécificité du TGV.
La cooperation scientifique Franco-Russe.
Pour ne pas s’enfermer dans des structures juridiques trop complexes, les deux pays ont privilégié le concept des laboratories conjoints et des réseaux de recherche. Les premières réunissent en un même lieu des chercheures sur des péremètres scientifiques bien definis et les seconds rassemblent universités, organisms de recherché et éventuellement groups industriels sur des objectifs scientifiques bien déterminés. On peut trouver läinformation sur internet
réseau franco-russe de centres d’inovations www.rfr-net.org
Sources:
1.Réseau franco-russe de centres d’innovations
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2.Centre national de la recherché scientifique (CNRS) Bureau Russie et pays CEI
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4. “Les innovations 2010,qui vont changer la vie”, Science et vie, Janvier 2010
5.”Les grandes questions de l’economie contemporaine”, 2010.
Потеряева Юлия
Don State Technical University, Russia
CORPORATE CULTURE IN THE CONDITIONS OF GLOBALIZATION
This article highlights the importance of well-developed corporate culture and its obvious influence on labour productivity, competitiveness and total profits of the enterprise.
Key words: corporate culture, labour productivity, competitiveness, corporate ethics, profits, human resources, attraction of investments, working efficiency, psychological climate, management style.
The informatization of economics and society is stimulated by globalization of economic relations and tendency of the corporate structures to develop competitive advantages at domestic and world markets by means of adapting advanced scientific, technical and managing achievements. These phenomena cause dissemination of new production control methods changing innercorporate and intercorporate cultures.
The question of managing human resources springs up, the approaches and principles being rather unclear. Human resources make it possible to improve considerably the basic characteristic of modern production – labour productivity. For instance, the increase of working efficiency in the aerospace industry is realized up to 60% due to application of new technology, up to 25% due to optimization of capital investments and up to 15% due to increase in efficiency of labour. It is important that increase of labour productivity, resulted from application of new technology and attraction of investments, will be successful only under the condition of well-organized work, development of capacities and initiative.
In Russia a number of managers consider the strategy, based on attraction of human resources of higher quality, to be excessively costly. But in reality, it is the strategy that ensures a long-term success of business. Whereas it is easy to foresee the limiting impact of capital shortage and its consequences, it is rather complicated to remove the impact of qualitative labour deficit. Consequently, strategic planning of enterprise development should be of more importance than meeting demands of the enterprise in capital.
The success or failure of an enterprise can be directly or indirectly explained by its corporate culture. The management style, psychological climate in the working team, image influence, labour productivity, competitiveness, total profits, etc. Therefore, the manager should foresee the consequences of his decisions for team interrelations and image of the enterprise. The leading corporations successfully combine management of technical preparation, provision, and implementation of production with realization of conduct code, reflecting the basic objectives and ethic values of the enterprise.
The interpretation of the concept “corporate culture” brings out a lot of subjective. The notion of corporate culture is described as our surroundings or environment we live and work in. In this interpretation corporate culture is a system of wealth and intellectual values interacting with each other within an enterprise and reflecting its individuality in behaviour and perception of itself and the environment.
The modern approach to the corporate culture is based on the models of the countries with the developed market economy, which is connected with a high level of provision with material elements of culture. The codes of corporate ethics target at improvement of work and competitiveness of an enterprise.
The code of the corporate ethics
- defines the order of solution of conflict and unregulated situations.
- defines and regulates the norms of behaviour and morals in the corporate environment
- regulates the order of making decisions in complicated economic and other situations.
- forms a positive image of the company in the business environment.
The essential base of business relations is trust and readiness for cooperation as the precondition for growth of enterprise productivity due to favorably established social relations.
Literature
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Пузанова Марина
Don State Technical University, Russia
DIE AUSWIRKUNGEN DER JAPANISCHEN TRAGÖDIE
The article is focused on the tragedy which has happened in Japan. The article deals with the consequences of the event: economic, ecological, gastronomic, social, etc.
Key words: Japan, tragedy, consequences, economy, earthquake, tsunami, radiation, Fukushima, pollution, health
Kürzlich sind alle Menschen der Welt Zeugen der furchtbarsten Tragödie in Japan geworden. Dieses Ereignis hat katastrophale Auswirkungen, die man in drei großen Gruppen teilen kann.
1. Wissenschaftliche Auswirkungen.
Die Hauptstadt Tokio, das größte wirtschaftliche Zentrum des Landes, liegt in einer Entfernung von dem Katastrophenreaktor.
Die Region der Hauptstadt beherbergt 35 Millionen Menschen, das ist mehr als ein Viertel der Gesamtbevölkerung des Landes. Die Region um Tokio ist das wirtschaftliche Herz Japans. Sie steht für fast ein Fünftel des Bruttoinlandsprodukts. Die meisten Firmen haben hier ihren Sitz - und so kommt es, dass in der Hauptstadt-Region auch die meisten der etwa 500 deutschen Firmen ihre Zentralen haben. Einige haben ihre Büros dort schon verlassen.
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